Les plantes sauvages alimentent aujourd’hui des marchés internationaux, où plantes et hommes sont mobilisés pour approvisionner des filières globalisées.

Entre cueilleurs thaïlandais, entreprises suédoises et exportation, l’exemple des myrtilles en Suède est emblématique. Mais ce modèle n’est pas le seul possible. A contrario, plusieurs PNR du Massif central imaginent un projet de valorisation de la myrtille sauvage qui soit producteur de sens et de synergies locales. Nous ouvrons le débat autour de ce marché globalisé en regardant également du côté des filières françaises.